Alexandra de Garidel

L’architecte d’intérieur genevoise Alexandra de Garidel est animée par la passion. Elle mord la vie à pleines dents, s’engage avec enthousiasme dans tout ce qu’elle entreprend, et vise la perfection dans chacun de ses projets professionnels.

 

Pour elle, rien n’est impossible. Depuis la création de sa propre structure en 2005, ses réalisations ont été extraordinairement variées : un chalet en Suisse pour des collectionneurs d’art ; des opérations de promotion immobilière ; des concepts pour des boulangeries, des restaurants et des fast-foods ; et une collection d’objets précieux imaginée avec la complicité du joaillier romain Bernard Delettrez, qui puise ses inspirations dans le monde naturel, l’Égypte ancienne, le Jardin d’Eden...

 

Leur point commun ? La vision unique d’Alexandra de Garidel, qui conjugue la culture et le savoir-faire français avec la précision suisse.

Son amour du beau naît dès l’enfance. Elle est élevée dans un milieu aristocrate dans le sud de la France avec des maisons de famille décorées de meubles anciens et une tante propriétaire d’un château dont le parc a été dessiné par le jardinier de Louis XIV, André Le Nôtre. Elle travaille initialement dans le monde de la finance, une expérience qui lui permet d’acquérir des compétences qu’elle applique désormais dans son métier de designer : la gestion des budgets, de l’efficacité, un sens d’organisation, une approche pragmatique...

 

Parmi ses autres forces, on peut citer son don pour remanier les plans et les volumes, une maîtrise des couleurs et des matières, et un talent pour concocter des ambiances chaleureuses et accueillantes. Chacun de ses intérieurs est empreint d’une personnalité forte, chacun raconte une histoire à laquelle s’ajoute souvent une pointe d’humour.

Demandez-lui de parler de ses passions dans la vie et elle cite sa fille Eléanore, son amour de l’équitation et son engouement pour l’art. Ce n’est pas une coïncidence si le logo de sa société Avilda est inspiré par le travail de James Turrell et ses installations autour de la lumière.

 

L’ordinaire n’a aucune place dans son univers. À la recherche de l’exceptionnel, de l’unique, elle vit en mouvement perpétuel. Avec entrain, avec justesse, avec passion.

 

Ian Phillips